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LE PETIT GÉANT

L’ennemi géant avance à grandes enjambées dans la vallée d’Élah. Sa taille est de 2,75 m. Son armure, qui comporte plusieurs petites cuirasses en bronze, brille sous le soleil. Sa lance est entourée de cordes, afin de la faire tournoyer dans l’air, de lui permettre de parcourir une plus grande distance et d’être plus précise. Goliath semble invincible.

LE BLUFF D’UN OPOSSUM

L’opossum est connu pour sa capacité à faire le mort. Ce faisant, son corps s’affaiblit, sa langue pend à l’extérieur et son rythme cardiaque diminue. Au bout d’une quinzaine de minutes, l’animal se ranime. Fait intéressant : des experts animaliers ne croient pas que l’opossum fasse le mort dans le but d’échapper à un prédateur. Selon eux, il feint involontairement lorsqu’il se sent dépassé et angoissé !

Faux dieux

Les choses dans notre vie éloignent facilement notre coeur de Dieu. Les faux dieux regroupent tant l’argent que l’éducation, la carrière, les relations amoureuses, les enfants, et j’en passe. Dans son livre Counterfeit Gods (Les idoles du coeur), Timothy Keller définit une idole de cette façon : « Toute chose plus importante que Dieu, toute chose qui occupe plus de place dans votre coeur et dans vos pensées que Dieu, toute chose qui sert à répondre à un besoin que seul Dieu peut combler. »

LA SAGESSE D’EN HAUT

Si Kiera Wilmot avait réalisé son expérience dans sa classe de science au lycée, cela lui aurait peut-être valu un A, mais au lieu de cela on l’a accusée d’avoir causé une explosion. Même si elle avait envisagé de faire approuver son expérience par son professeur, ses compagnons de classe l’ont persuadée de la mener en dehors de la salle de cours. Lorsqu’elle a mélangé des produits chimiques dans une bouteille de plastique, cette dernière a explosé et Kiera a bouleversé certains élèves sans le vouloir.

ÉCOUTÉ DE DIEU

Après avoir lu plusieurs livres pour enfants à ma fille, je lui ai dit que j’allais lire un livre écrit pour les grands pendant un moment et qu’on se remettrait ensuite à regarder des livres ensemble. J’ai tourné la page de couverture du livre de mon choix et je me suis mise à le lire en silence. Quelques minutes plus tard, l’air incrédule, ma fille m’a dit : « Maman, tu ne lis pas vraiment. » Elle a présumé que, parce que je ne parlais pas, je ne faisais que survoler les mots.

Laisser tomber

J’ai passé l’été de l’année 1992 à faire des culbutes et des sauts périlleux, et à avancer péniblement dans les eaux du lac Strom Thurmond en Caroline du Sud. J’essayais avec peine d’apprendre à faire du ski nautique. Cette douloureuse tentative a révélé le niveau élevé de détermination qui m’habite. Ma plus grave erreur a été de refuser de lâcher la corde et d’admettre la défaite lorsque je suis tombée. Ce n’était pas beau à voir.

LES PREMIÈRES IMPRESSIONS

En faisant l’épicerie, un jour, j’ai été perçu comme un voleur par une certaine personne et comme un héros par une autre.

BIENVENUE À TOUS !

Un projet d’embellissement de la rue principale de ma petite ville a imposé la démolition d’une église ayant été bâtie dans les années 1930. Bien que les fenêtres de l’église vide n’y étaient plus, les portes sont restées en place pendant plusieurs jours, même après que les bulldozers ont commencé à abattre des murs. Sur chaque ensemble de portes autour de l’église, on avait écrit en gros caractères d’imprimerie, d’un orange fluorescent : DÉFENSE D’ENTRER !

OBÉISSANCE = ADORATION

En voyage avec la chorale d’un lycée chrétien, j’ai beaucoup aimé voir les élèves louer Dieu en dirigeant l’adoration devant les Églises auxquelles nous rendions visite. Ce qui se passait en dehors des églises était encore mieux. Un jour, le groupe s’est rendu compte qu’une femme n’avait pas de quoi se payer de l’essence, si bien que les jeunes se sont spontanément sentis poussés par Dieu à faire une collecte. Ils sont ainsi parvenus à ramasser suffisamment d’argent pour lui payer plusieurs pleins d’essence.

IL VOUS APPELLE

Quelques collègues et moi venions de passer la sûreté aéroportuaire et marchions vers notre porte d’embarquement lorsque j’ai entendu : « Anne Cetas demandée. Anne Cetas demandée. » Comme mon nom n’est pas courant, nous savions qu’il s’agissait bien de moi. J’ai présumé avoir laissé quelque chose derrière par mégarde. Je me suis donc informée auprès d’un agent de ligne aérienne, qui m’a demandé de décrocher un téléphone rouge, de me nommer et de demander pourquoi on me faisait appeler. M’étant exécutée, le standardiste m’a dit : « Non, nous ne vous avons pas fait appeler. » Je lui ai répondu : « C’était pourtant mon nom. » Puis, il m’a affirmé deux fois : « Non, nous ne vous avons pas fait appeler. » Je n’ai d’ailleurs jamais découvert pourquoi on m’avait fait appeler ce jour-là.